Dissection de la pieuvre (2)
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« Il existe en France un puissant lobby pro-israëlien exerçant notamment son influence dans les milieux d'informations » (Général De Gaulle)
Revenons aux tentacules de la pieuvre sioniste, voulez-vous ? Mais n’oublions pas, comme je l’ai déjà écrit hier, qu’en France, seulement 5% des juifs sont représentés par le conseil (dit) représentatif des institutions juives, ce qui signifie que l’immense majorité des juifs de France est soit mollement active dans le sionisme, soit indifférente ou carrément hostile.
Penchons-nous sur ces intellectuels actifs pour illustrer les objectifs du lobby pro-israëlien. Chez eux, les thèmes sont toujours les mêmes : fanatisme des musulmans, choc des civilisations, incompatibilité de l’islam avec les valeurs de la République, chantage moral permanent autour de la reconnaissance de la « Shoah » (je préfère l’expression commune « massacre ») comme événement incomparable et tabou. En France, ce sont toujours les mêmes : Alain Finkielkraut, Alexandre Adler, Bernard Henri-Levy, André Glucksmann, entre autres, désignés comme « nouveaux philosophes », ce qui fit dire au regretté Gille Deleuze : « philosophes à la pensée nulle », et à d’autres : « nouveaux imposteurs » ou « nouveaux réactionnaires ». Pour eux, il n’y a pas de problèmes de gauche ou de droite, il n’y a que la défense d’Israël et l’éradication des adversaires du sionisme qu’ils qualifient, bien entendu, d’ antisémites ! Il y a aussi Claude Lanzmann, réalisateur, scénariste, producteur et écrivain d’occasion, directeur de la revue Les Temps Modernes (fondée par J-P Sartre et Simone de Beauvoir). C’est lui qui a imposé le terme « Shoah ». Et Jacques Attali, ancien conseiller de Frédéric Miterrand, ancien Président de la Banque Européenne de développement, apologue de la puissance financière en général et juive en particulier.. Mentionnons ce que tout le monde sait sur l’influence du lobby dans le monde du spectacle, du cinéma, de la presse, de la télévison et ainsi de suite… Tous se relaient dans l’organisation de la persécution d’intellectuels qui ne partagent pas leur vision ethnique et exlusive de « l’Etat d’Israêl ». Leur méthode a plusieurs niveaux d’action : Il y a la diffamation jusqu’à l’évacuation complète du discours. L’accusation d’affinités avec le premier groupe. Ceux qui ne pense pas comme ils le veulent ou qui expriment des doutes quant à la légitimité de l’entité sioniste en Palestine, ceux-là, bien sûr, sont, pour eux, des antisémites mais aussi, comme les précédents, des révisionnistes voire des négationnistes déguisés. Le cinéaste Godard par exemple a fait les frais de leur ire et boycott. La caricature et la persécution de toute mouvance se réclamant avant tout du patriotisme. C’est le cas du Front National, présenté comme un repaire de néo-nazis. François Mitterand, au moment où il a introduit une dose de proportionnelle dans les législatives avait permis à ce parti (plus de dix pour cent des électeurs quand même !) de bénéficier d’une représentation nationale, somme toute légitime. Le Président dû affronter des pressions inadmissibles du lobby pro-israëlien. Chantage électoral Qui s’exerce sur tous les hommes politiques et sur tous les partis. Tout est bon, depuis le financement et/ou le soutien public des campagnes électorales. Nicolas Sarkozy en sait quelque chose et même plus, mais il n’est pas le seul. Ce soutien fut monnaie courante chez les socialistes et a caché les enjeux financiers et les options de la politique étrangère de la France. Le parti communiste, dans lequel de nombreux juifs ethniques et anti-sionistes jouèrent un rôle clé a été, ainsi, totalement évincé de la scène politique de notre pays. Et, in fine, c’est un des derniers communiste, Claude Gayssot, qui donna son nom a cette loi inique qui interdit toute révision ou interpréation hetérodoxe de l’histoire du massacre des juifs durant la dernière guerre, faisant de cette dernière un domaine exclusivement réservé aux politiques et non aux historiens… . Le harcèlement judiciaire C’est le traitement réservé aux penseurs critiques et qui affecte aussi les juifs ethniques. Pensons à Edgard Morin, l’éditeur Eric Hazan, le journaliste franco-israëlien Charles Enderlin qui furent traités comme le furent Alain Ménargues, Pascal Boniface, Dieudonné et Alain Soral. La liste de ces méthodes n’est pas limitative, loin de là…
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